Vacances en Asie avec Virg. Etape 6: LES ILES PERHENTIANS
Nous décolons de Kuala Lumpur pour notre dernière étape : les îles Perhentians. Ca n’a pas été facile de choisir dans quel endroit paradisiaque aller en Malaisie…
Pour aller sur ces îles, nous avons pris un avion jusque Kota Bharu, au Nord de la Malaisie, à la frontière avec la Thaïlande.
Nous sommes restées une nuit dans cette ville où nous pensions faire du shopping. Raté! Ce soir-là il y avait une fête religieuse indienne et TOUT était fermé... la cata, ville morte, avec seulement des oiseaux (ou chauve-souris...) qui criaient dans le ciel. Limite glauque!
Le seul endroit où nous avons pu dîner était le bouiboui du quartier où tout le monde nous regardait bizarrement. Le chef nous a préparé ce qu'il avait:
...et c'était très bon, on s'est vraiment régalées en fait.
Nous avons pris un taxi pour aller de Kota Bahru à Kuala Besut où il y a l'embarcadère. Apres 1 heure de rodéo sur la route, nous voilà prêtes à prendre le « jetty ».
C'est parti !
Nous allons sur la grande île de Perenthian, Besar. En gros, Perhentians ce sont 2 îles voisines sur lesquelles il n’y a pas de route (tout se fait en bateau-taxi), complètement sauvages avec des bungalows et des parasols.
L’eau est transparente, le fond est blanc, il y a des poissons multicolores partout…
et un restaurant bien situé sur la plage...
Nous réservons la plongée de Virg et louons des palmes/masque/tuba pour la matinée. Ou doit-on aller pour voir des jolies choses ? ben là, juste devant…
Je m’étais déjà entrainée avec Virg en Corse à mettre la tête sous l’eau dans la mer avec un tuba sans suffoquer donc ca va !
Bon OK, Virg est plus à l'aise...
On voit plein de poissons multicolores
En plongeant plus bas, avec des bouteilles, Virg a même croisé des Nemos:
Apres un tour dans l’eau, on a bien mérité une pause sous les palmiers… Il est temps de rentrer à Pékin, c'était la dernière étape de nos vacances... Le truc insolite : être parties sans payer nos cocas et le type de l’île qui agite des bras en criant comme un furieux… la honte… on aurait bien aimé revenir pourtant, on choisira un autre hôtel, genre celui-la n’a pas l’air mal